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Blog d'Olivier Issaly

Lire les rapports du GIEC

Dans la prise de conscience des enjeux changement climatique, j’imagine que chacun prend des chemins différents. Pour ma part, c’est la lecture du livre « Let My People Go Surfing » en 2018 qui m’a mis sur le chemin pour m’informer plus et agir.

Pour autant, je n’ai jamais pris le temps de lire les fameux rapports du GIEC. J’ai beaucoup lu la presse qui en parle (pour peu qu’il n’y ait pas une actualité sportive plus importante…), mais pas les rapports en eux-même, pensant qu’ils seraient probablement trop technique ou long à lire.

Couverture du livre "Le GIEC, urgence climat"

C’est pour cela que j’ai sauté sur le livre « Le GIEC, urgence climat » de Sylvestre Huet, blogueur scientifique pour Le Monde et actif sur Twitter où je le suivais déjà. Le livre rend accessible les 3 rapports avec des extraits des rapports pour décideurs (traduits et vulgarisés, mentionnant les degrés de confiance) bien distincts des éclairages journalistiques de l’auteur, auxquels s’ajoutent des infographies très claires.

Le livre se lit ainsi très rapidement et aisément. Je n’avais pas forcément besoin d’être convaincu par les changements climatiques (rapport 1), les conséquences et risques (rapport 2) ni ce qu’il est recommandé pour l’atténuer (rapport 3), mais j’ai apprécié d’avoir une synthèse factuelle de ce travail titanesque de la communauté scientifique.

Je retiens surtout du livre la genèse de ces rapports, commandés par les décideurs politiques de l’époque (le G7 en 1988, sous Reagan et Thatcher), non pas pour savoir si le changement climatique présente un risque, mais pour évaluer ce risque. Le rôle du GIEC s’arrête là. Celui du politique commence ensuite : il arbitre ce risque au regard d’un autre : arrêter brutalement la dépendance aux énergies fossiles, avec son lot de conséquences économiques et sociales. Force est de constater que le second l’a essentiellement emporté jusqu’à présent, hélas.

Suite et fin de notre Vélodyssée : Nantes – Roscoff – Brest

Après voir fait Hendaye-Nantes l’an dernier, nous avons poursuivi cet été en faisant la suite de la Vélodyssee : Nantes-Roscoff. Nous avons même poussé jusqu’à Brest pour attraper le TGV soit 520 kilomètres en 8,5 jours (dont 6,5 de roulage).

Voir en plein écran

Kiad.org a 20 ans

Plus précisément, aujourd’hui même, cela fait 20 ans que j’ai acheté mon nom de domaine ! Le blog est lui actif depuis en 20041.

Pourquoi « Kiad » ? Bonne question ! Il s’agissait à l’origine d’un projet de CMS (Content Management System), et j’avais adopté l’idée de l’acronyme récursif façon PHP (PHP : Hypertext Preprocessor). Le K n’a donc aucune signification, si ce n’est que cela sonnait bien. Quant au I, A et D, j’ai oublié…

Découverte du mix

Cela fait maintenant deux ans que j’ai découvert les joies du mix. Depuis le premier confinement en fait, comme beaucoup les premières semaines très calmes furent l’occasion d’essayer un nouveau passe-temps.

J’écoutais des mix house & techno depuis longtemps, et j’apprécie quand ils sont bien construits. C’est un peu comme un album de musique, c’est difficile de composer un tout homogène, qui s’enchaîne bien, sans fautes (bon, même dans les meilleurs albums il y a toujours un titre « mouton noir »…).

Ce qu’aurait pu être MyAtlas

Il y a quelques temps, en parcourant le site de Decathlon à la recherche d’un vélo pour un client, je suis tombé sur ce média promotionnel pour les Triban. J’ai eu une sorte de flashback, car cela m’a rappelé les premières maquettes de MyAtlas ! Valorisation d’une belle histoire, place importante de la photo sous tous ses formats, contenus orientés passionnés, tout y est !

Un peu de contexte. Avant d’être une communauté de voyageurs, MyAtlas était un projet pour des communauté de passionnés en tout genre. Nous sortions de 9 ans de travail sur une communauté de passionné d’équitation, et avions envie d’appliquer ce que nous avions appris sur un projet couvrant plein de verticales différentes.

Blog d'Olivier Issaly & Thème basé sur Lovecraft
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